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Mickaël -Miki- Lidh [Joker des Blancs]

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Mickaël -Miki- Lidh [Joker des Blancs] Empty Mickaël -Miki- Lidh [Joker des Blancs]

Message par Miki L. Lun 31 Mar 2008 - 20:21

Nom : Lidh

Prénom : Mickaël

Surnom : Miki

Sexe : Masculin

Groupe : Joker des métissés

Date de naissance : 13 janvier 1990

Âge : a l’air de 16 ans

Poste / métier : Joker blanc

Animal : Dragons

Pouvoir : Tous

Goût : Mickaël adore la lecture et les énigmes. Ce sont ses deux principales activités sur Decentra Emdor, et question énigme il est servit avec les atouts. Il a aussi un gout de l’esthétisme assez particulier. Froid disons, c’est pour cela qu’il vit dans un jardin beau certes mais aussi mélancolique. Mickaël aime aussi la nature et apprécie d’être vénéré. Ca à ses avantages après tout…

Psychologie : Mickaël essaye de retrouver un équilibre. C’est son principal but. De toute sa vie il n’a pu la contrôler alors pourquoi ne pas contrôler sa mort. Il essaye d’oublier qu’il a était un jour un humain, que son âme est tellement tachée, irrémédiablement. Il est donc le Joker blanc, juste une apparence. Tout n’est qu’apparence.

Il est le Joker des métissés. Ce n’est pas un hasard, vous l’aurez deviné. Ce peuple est celui qui lui ressemble le plus. Le mélange de deux êtres si différents rassemblés en un seul corps par le si cruel destin. Ils sont considérés comme des être inferieur ou impures, des sortes d’erreurs. Le début de la fin. Lui y voit une promesse d’espoir, les peuples qui commencent à se rencontrer.

Mickaël se montre presque toujours bienveillant envers les métissés et toutes les autres cartes. Presque toujours. Il est dans sa nature de vouloir aider ceux qu’il trouve plus faible que lui. Il a toujours était comme ça. Il a toujours cherché les problèmes et comment les résoudre. Comprendre l’incompréhensible…

Miki est d’un naturel assez calme, il sait que s’énerver ne sert strictement à rien, cela ne signifie pas qu’il ne s’énerve jamais. Cela lui arrive mais cela se produit pour des raisons qui semblent illogiques à tout autres que lui, on pourrait le qualifier de lunatique. En revanche il se montre impitoyable quand il le faut.

Bien entendu il fait preuve d’une énergie débordante et affiche toujours un grand sourire. C’est son principal trait de caractère, celui que l’on remarque dès qu’on le voit. A l’intérieur de lui il essaye de se pardonner son ancienne vie et d’effacer les cadavres qui parsèment son chemin.

Parmi ces cadavres se trouvent ceux de Maka et de Ronny. Chaque instant il revoit la dernière scène du dernier acte se rejouer devant lui. Ce sentiment de culpabilité le ronge. Pourquoi n’a-t-il pas réagit ? L’aurait t’il pu ? Pourquoi n’y a-t-il jamais de réponse aux vraies questions ?

Physionomie : Mickaël peut choisir la forme qu’il prend. En général on peut le voire sous la forme d’un garçon d’environ 16 ans. Il est tout blanc, comme son nom l’indique, il est vêtu de blanc, a les cheveux claires, un teint blanc comme de la neige. Ses yeux n’ont aucunes couleurs, comme une toile sur laquelle il aurait plue, les couleurs en sont délavées. Le tout lui donne un air d’apparition spectrale. Pour ses apparitions il préfère faire dans le spectaculaire ( sauf quand il est incognito) : il apparait sous la forme d’un dragon blanc et argent. Même après des milliers d’années sa fait toujours autant d’effet…

Histoire :

Dimanche 13 Janvier 1990 Terre

« Comment contez vous l’appeler ? »
Elle compte l’appelait Mickaël, Mikael comme son père, disparu. Comme ça.
4 mois plus tôt il était sorti de la maison familiale et n’y était jamais revenu. Ce sera donc Mickaël. Et l’autre ? L’autre qui se tapi déjà à l’intérieur de ce petit être fragile ? Il n’aura pas de nom, il sera l’Autre.

***

Septembre 1995

C’est l’arrivé à la maternelle, Il découvre un autre monde. Il y a donc d’autres enfants, d’autres personnes d’autres vies ? On peut leur parler, eux ne vous rejettent pas, ils ne cherchent pas à vous arracher à votre corps. Mickaël à passé les cinq premières années de sa vie cloîtré chez lui.
«Alors qu’a tu mon petit ? Tu fais de mauvais rêves ? »
Non ce n’était pas des rêves, l’autre se faufilait dans sa tête lorsque la nuit recouvrait tout. Ce n’était pas des rêves. Il essayé de lui faire lâcher prise, de le faire sortir de son corps. Ce n’était pas des rêves. L’Autre existait il n’avait pas de corps, c’est tout.

Les autres enfants n’étaient pas comme lui, ils étaient gentils, Mickaël apprit à sourire, cela lui plut beaucoup, il se décida à sourire à tout le monde. Des sourires lui répondirent. L’Autre disparut. Mickaël était ce que les maîtres se plaisaient à appeler un petit prodige, il comprenait tout. Presque tout.

***

25 février 1997.

Deux années s’étaient écoulées, il n’avait plus peur du noir depuis bien longtemps, à présent compter et écrire était devenu bien naturel, la lecture surtout. Mais l’autre était toujours là, il s’était habitué à ce nouvel univers, les sourires ne l’effrayent plus.

«J’m’en fiche que c’est ta place, je fais ce que je veux. »
Une dispute banal pour un écolier de 7 ans, pas pour lui, il n’a jamais eu de dispute, il ne s’est jamais énervé. Et l’Autre qui s’agite, comment le retenir ? Impossible. Mickaël voit avec un certain détachement l’enfant qui pleure à ses pieds, les autres aussi pleurs et crient. Un surveillant lui prend le bras et lui arrache le morceau de verre qu’il tient.
Premier renvoi.

***


Juillet 2001

4 ans ce sont écoulés. Il les avaient passés chez lui, un professeur particulier. Et surtout des livres, il avait lu tous ceux qu’il avait trouvés. Pourquoi ?

Parce que dans toutes ces connaissances il devait bien y avoir un moyen de se débarrasser de l’autre. Il avait trouvé un cas ressemblant au sien. Dr Jekill and Mister Hide. L’Autre était Hide, celui qui est caché et qui sort la nuit, n’existant que pour le mal. Peut être pas. Peut être n’existe-t-il que pour faire ce que lui n’oserait pas faire…Hide. Il n’y avait pas de moyen de s’en débarrasser dans le livre Jekill meurt…
Hide aussi.

Il avait aussi vu quantité de psychologues, en vain. Il n’avait fait mention de Hide. Jamais. Il leur raconte sa vie, si petite, insignifiante, insipide, ils font semblant de s’intéresser, font leurs diagnostics et repartent sans rien savoir de plus.

Il ne voyait plus personne et restait enfermé chez lui la plupart du temps. Hide devenait de plus en plus menaçant au fur et à mesure que le temps passait. La solitude le renforçait. Tout comme la colère, la peur, la tristesse, la haine…Et Mickaël avait peur, peur de disparaître pour de bon, de s’endormir une nuit pour ne jamais se réveiller vraiment. Voir la vie au travers les yeux d’un autre, de l’Autre. Peut être qu’à force de rester enfermer dans son esprit deviendrait-il fou ?

Peut être devenait-il fou ?

***

Décembre 2001

Tout semble aller mieux. Semble. Les apparences peuvent parfois être trompeuses. Qui soupçonnerait le petit Mickaël ? Et personne n’irait soupçonner le petit Mickaël. Cette phrase qui tourne en rond dans son esprit, qui l’empêche de penser à autre chose. Qui l’empêche de dormir. Qui l’assassine comme un poison qui coule dans ses veines, le brûlant, consumant son esprit, gelant son corps.
« C’est de la fièvre, attendez que sa passe. »
Ce n’est pas de la fièvre, c’est beaucoup plus profond, c’est comme une marque indélébile, une tache de sang sur son âme. Une souillure qui rampe et se répand avec toute la volonté implacable du mal jusqu'à l’hégémonie totale.

3 mois plus tôt il avait fini par reprendre le chemin du collège suite à une décision d’un psychiatre ayant décidé que cela l’aiderait à guérir de ses problèmes. Surement le seul psychanalyste qui eut servit à quelque chose…
Sa mère avait accepté, lui aussi. L’affaire était entendue.

L’amélioration avait était notable, il avait retrouvé le chemin de la vie, rencontré des personnes, leur avait sourit, ils étaient devenus des amis. Les professeurs l’adoraient ou le détestait cordialement, il savait déjà tout, il n’avait rien à faire en sixième, ni au collège d’ailleurs. Cela lui attirait aussi l’admiration ou l’animosité de ses camarades. Cela lui importait peu, du moment qu’il sentait pesait sur lui des regards qui reflétaient autre chose qu’un intérêt professionnel face à un cas assez intéressant de troubles psychologiques.
Bien entendu personne n’était au courant de ces problèmes, c’est pour cela que l’on venait lui parlait, qu’on l’invitait à toutes les tables. Il était intelligent, sociable toujours prêt à aider.

Si ils avaient sut il serait devenu un fou, un type dangereux et antipathique qui prends plaisir à se montrer meilleur que tout le monde pour rabaisser ses camarades. Le monde est fait ainsi et les gens sont comme ça, il ne se faisait pas d’illusion. Pour les autres seuls les apparences comptaient. Pas pour lui. Quand il regarde quelqu'un il se demande toujours quel secret il cache, quelle est cette lueur dans les yeux ? Il devint bientôt capable de lire dans les autres comme dans un livre.

Dans ce nouveau monde qu’est le collège les règles sont différentes. Les petits ne sont pas bien à l’abri, protégés par des grillages. Là les grillages sont autours, ils sont dans l’enclos avec de plus grands qu’eux, des proies et des prédateurs ensembles. Tant que ces derniers sont bien dressés ils se contentent d’ignorer totalement les nouveaux. Dans le cas contraire…

Ce fut le second cas. On fini par apprendre ce qui s’était passé quelques années plus tôt, on finit par apprendre qu’il doit voir des psychologues. On le fuit, pas tout de suite. On se dit que c’était il y a longtemps, mais ceux qui s’éloignent emportent avec eux les autres petits à petit l’érosion fait son œuvre. Il se retrouve seul. Les prédateurs s’attaquent toujours aux plus faibles.

Il passe les pires jours qu’il ait connu, il se sent traqué, passe ses journées à pleurer, laisse la porte ouverte à Hide. Il vient de plus en plus souvent le voir dans ses cauchemars. Il le voit maintenant, comme une personne existant réellement et il a un nom aussi. Sxib. Il s’appel Sxib. Il semble avoir changé de tactique. Il n’essaye plus de l’arracher à son corps. Il vient chaque nuit, à chaque moment de silence lui chuchoter à l’oreille des mots incompréhensibles et pourtant si tentants.

Un jour un de ses racketteur est retrouvé chez lui. Mort. Il saisi enfin ce que l’Autre lui chuchotait à l’oreille. Mickaël s’écroule. Spirituellement. Il se sent écrasé, laminé, parti en lambeau. Sxib recommence. Mickaël refuse de repartir au collège. On croit qu’il est choqué par la mort de ses camarades, il l’est. Mais pas comme ils l’imaginaient. Une nuit Sxib revient, enfin ce n’est pas lui qui vient, il convoque plutôt Mickaël. Car c’est lui maintenant le maître, Mickaël a abandonné.

Il lui glisse alors la phrase. « Et personne n’irait soupçonner le petit Mickaël. »
Il n’aurait pas du, Mickaël n’est pas aussi faible qu’il ne tend à le croire, lui aussi peut éprouver de la haine. Sxib est balayé mais le poison reste. Son comportement, ses notes s’en ressentent, il a à présent plus l’aire d’un fantôme que d’un humain. On décide de le changer d’établissement une fois de plus. Le prochain est un établissement spécialisé dans les enfants à problèmes. Beaucoup de mots qui ne veulent au final pas dire grand-chose. Qui n’a pas de problèmes ? La vie ne se résume t’elle pas à une suite ininterrompue de situations dévastatrices pour l’âme et l’esprit ? Le monde n’est t’il que ça ? A-t-il seulement un sens ? Peut être mais ce sens n’est pas pour lui.


Dernière édition par Miki L. le Lun 31 Mar 2008 - 20:29, édité 1 fois
Miki L.
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Mickaël -Miki- Lidh [Joker des Blancs] Empty Re: Mickaël -Miki- Lidh [Joker des Blancs]

Message par Miki L. Lun 31 Mar 2008 - 20:22

2002

Ici personne ne pose de question. Ici personne ne vous regarde comme un animal chimérique et repoussant. Ici l’anormal est la norme. A quoi cela peut il bien servir de chercher à connaître les autres ? Ils sont tous comme toi, Ils ont leurs problèmes toi les tiens. Mickaël pense avoir réglé le sien de problème. Sxib reste terré au fond de son esprit, dans les recoins les plus sombres. Il a failli être détruit, il le sait et ne tient pas à recommencé. Il ne sait pas que Mickaël ne peu plus le retenir, il n’en a plus la force, plus la volonté, plus l’envie, plus l’envie à rien, plus à la vie.

Il est premier partout, comme d’habitude, il continu de lire tout ce qui lui tombe sous la main, il apprend qu’il souffre d’une sorte de schysophrénie. Selon les psychiatres qui ont rédigés ses livres. Lui sait que ce n’est pas ça. L’autre est… un autre, pas une partie de lui. Ici il est le seul à s’intéresser aux autres, il se dit qu’il n’est pas le pire. Il recherche à comprendre les autres, quelles sont leurs secrets ? Est t’il possible de les aider ? Si c’est possible il le fait. Il s’attire de cette façon la sympathie d’un bon nombre de gens. Il accède au poste de chef de la rédaction du journal de l’établissement.

Les années passent lentement, rien de notable ne se produit. Les journées ont toujours aussi peu de couleurs mais celles qui étaient si grises auparavant semble avoir reçut quelques touches de blancs. Il retrouve même son sourire et une partie de son énergie. Mickaël guérit en quelque sorte, mais très lentement.


***

Décembre 2006

Il y a une nouvelle arrivante dans l’établissement. Mary-Kate Tytree. Mickaël s’est un peu renseigné sur elle avant qu’elle n’arrive. C’est lui qui accueille les nouveaux arrivants. Personne ne l’avait dit, c’était un accord tacite. La moins dégénéré qui accueillait les nouveaux pour donner bonne impression en quelque sorte. Par le biais du journal il apprit un peu toute sa vie, par bribes. Il y avait des trous de quelques mois par ci par là mais l’essentiel était là. A part le plus important : que venait t’elle faire ici ?

Le jour J il se présenta au portail pour attendre la nouvelle arrivante. Elle arriva. La vie trouva enfin son sens et ses couleurs. Il senti Sxib se tordre de souffrance à l’intérieure de lui alors qu’un mur indestructible encerclait son esprit. C’était la rencontre de sa vie. Mickaël senti un immense sourire renaître sur son visage, celui-ci n’allait surement plus le quitter. Durant toute la visite de l’établissement Mary-Kate ne prêta pas attention à lui. Elle semblait se désintéresser de tout et n’aspirer qu’à la tranquillité. Cela ne le dérangeait pas.

***

Février 2007, un jour pluvieux.

Mickaël quitte précipitamment le cours dès que la sonnerie retentie. Le prof ne dit rien, ils ne lui disent jamais rien. Il a appris la veille que Mary-Kate aimait écrire, cela tombait bien, il avait une série d’article à édité. Il n’avait pas vraiment besoin d’aide, c’était juste un prétexte pour lui parler.
Il rattrape enfin Mary-Kate, un sourire naît tout seul sur ses lèvres.

« J’ai entendu dire que tu aimais écrire. Ça te plairait de faire partie du journal de l’école? »

Elle le fixe étrangement comme pour le jauger. Mickaël reste totalement impassible, il avait passé tellement d’examen comme celui-ci…

« Alors ? »

Elle fini par accepter, il ressent un petit sentiment de victoire, un vrais feu d’artifice en fait.

« Prends ce qu’il te plait et fait moi un article. Je veux voir à qui j’ai affaire... »

Il lui fait un clin d’œil et la plante là. Ca ne s’est pas trop mal passé. Au moins il n’a pas eu l’air d’un idiot et mieux encore : elle a accepté le poste.

***

Son nom retenti dans son dos, quelqu'un l’appel. C’est Mary-Kate ou Maka comme on l’appel ici. Elle arrive essoufflée et à l’air d’avoir d’avoir couru un marathon. C’est peut être le cas dans un sens, pour le rattraper quand il arpente les couloirs de l’établissement il faut vraiment se lever tôt. Ou vraiment vouloir le voir…une pensée assez plaisante. Il attend qu’elle reprenne son souffle avant de saisir les feuilles qu’elle tient. Il commence sa lecture.

Elle écrit vraiment bien. Bien sure les professeurs avec lesquelles il a discuté le lui avait dit mais là…il à du mal à croire que c’est vraiment elle qui a rédigé cet article. Il lui jette un coup d’œil, elle est en train de se mordre la lèvre. Il n’a pas envie de la faire attendre plus longtemps.

« C’est toi qui a écrit ça? »

Un petit oui inaudible se dessine sur ses lèvres. Mickaël la croit. Elle est vraiment anxieuse, apparemment elle pense qu’il va refuser. Surement pas. Mickaël cède à une impulsion et la prend par les épaules avec un grand sourire.

« C’est vraiment très bien! Bienvenue au journal ma chère. »

Il repart encore une fois la laissant là. Cette fois ci il sait qu’il la reverra surement.

***

Ils s’étaient revus. Plusieurs fois. Mickaël savait à présent tout de l’histoire de Maka, les zones blanches s’étaient remplis. Remplies de noire. C’était sa sœur, Veronyka, qui lui avait raconté toute l’histoire, tout ce qui était arrivé à Mary-Kate durant ces 17 dernières années. Il avait apprit à la connaître et à interpréter ce qu’il avait vu dans ces yeux. De la solitude, simplement, de l’incompréhension, de la peur. Il se senti encore plus proche d’elle, ils étaient pareille.

Mary-Kate Tytree ne semblait pas partager sentiments. Pour elle il était son meilleur ami. Et il n’avait pas osé lui avouer, la peur d’être rejeté, il préférait garder son cœur intact, loin de Sxib.

***

Aout 2007

Il faisait beau et chaud. Un temps idéal pour aller au parc aquatique. L’idée lui avait paru bonne. Il avait appelé Rony et Maka et leur avait proposé de venir passer les prendre. Il était arrivé et Rony s’était installée à coté de lui, Maka derrière en retrait comme d’habitude.

Mickaël avait pris la direction de l’autoroute, le trajet s’était passé dans la joie, ils avaient échangée des plaisanteries et des banalités. Puis c’est là que c’était arrivé. Un camion avait klaxonné, il l’avait vu foncer vers eux, un monstre d’acier de trente tonnes. Et son corps qui refusait de lui répondre, aucun de ses membres ne bougeaient. Il était comme un spectateur impuissant derrière une vitre qui n’existait pas.

Le camion percute leur véhicule. Il est broyé, balayé comme un fétu de paille par une tempête. Rony à coté de lui meurt sur le coup, elle aussi.

Et personne n’irait soupçonner le petit Mickaël.

Une dernière fois la phrase retentie. Et Mary-Kate ? Va t’elle survivre ? Elle le mériterait.

Mais la vie est injuste.

***

Nulle part, jamais.

Ils se sont retrouvés, mais dans ce vide, il est impossible de vivre ou de mourir. Alors ils ont créés leur monde. Decentra Emdor. Là Sxib n’existe plus semble t’il.
Là il n’y que Maka, Rony et lui. Là il n’y avait personne contre eux. Là la vie c’est eux.
Maintenant il y a les atouts.

La mort est injuste.

Autre : souffre de dédoublement de la personnalité (Sxib).

Ps: J'ai suivi vos deux histoires sauf pour l'atroce mort de monsieur Roussel où Sxib à fait un bel anachronisme donc je m'en tient à la version Maka.


Dernière édition par Miki L. le Ven 4 Avr 2008 - 17:39, édité 1 fois
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